Cambodge et Thaïlande - février 2011
Pour une fois, je ne voyage pas en solo, mais avec une amie. À deux, le tuk-tuk s’avère le moyen de locomotion le plus pratique pour aller d’un temple à l’autre à Angkor et circuler autour de Siem Reap.
Un tuk-tuk et deux ladies
Des tuk-tuks, il n’y en avait pas, ou peu, lors de mes précédents séjours en 2001 et 2003 à Siem Reap. On en trouve désormais à chaque coin de rue, et il est impossible de faire trois pas sans se faire héler par les conducteurs en quête de clients : “Tuk-tuk, ladies ?”

On adore ça, se faire appeler “lady”. Mais on décline chaque fois la proposition, vu qu’on a le nôtre, de tuk-tuk driver. Il s’appelle Krey, c’est lui qui est venu nous chercher à l’aéroport et qui nous a baladées trois jours durant, parmi les temples d’Angkor.
Pendant qu’on visite, il fait la sieste.
Pratique, le tuk-tuk !
Avantage de la course en tuk-tuk, cheveux au vent : elle procure séchage rapide et rafraîchissement naturel à la lady qui a transpiré à grosses gouttes sur les escaliers abrupts des fameux “temples-montagnes” khmers, surchauffés par le soleil cambodgien.
Et puis, ça permet de profiter du paysage à vitesse modérée, de voir défiler toutes ces petites scènes de rue typiques de la vie en Asie : marchands ambulants poussant leur carriole, gamins en uniformes qui rentrent de l’école à vélo, échoppes et boutiques qui s’animent le long de la route. Il y a aussi toutes ces motos surchargées de marchandises diverses que nous croisons, parfois un attelage de vaches ou une cargaison de moines en camionnette, le tout entre deux gros bus VIP de touristes…

😀