Polynésie : Maupiti + Rangiroa + Moorea - octobre 2012
C’est le bleu de l’immense océan Pacifique. Un bleu intense qui vrille les rétines et inonde la tête de lumière. Cap sur la Polynésie.
Polynésie française

J’ai découvert des îles minuscules, perdues au milieu du bleu. La Polynésie.
Bleu pacifique. On connaît la carte postale… Ce qui est fou, c’est que c’est vraiment comme ça.
Faut le voir pour le croire.
😲
Il y a le bleu des lagons, translucide, azur, turquoise. Plutôt une infinie déclinaison de bleus lumineux, vibrants. Autour, il y a le bleu sombre et dense de l’océan, qui gronde en se brisant sur le récif corallien.
Vu du ciel, vu de la plage, vu de la montagne – quelle que soit l’île, quelle que soit la couleur du ciel – ce bleu incroyable des mers du Sud vous cerne, toujours. C’est juste renversant…


L’océan immense
Le mot Océanie prend tout son sens quand on balaye du regard l’immensité bleue sous la carlingue de l’avion. Toujours cette sensation bizarre, à l’approche des petites pistes d’atterrissage bâties sur un lit de corail, que l’on va se poser dans la mer…
Les îles de Polynésie m’ont donné un sentiment d’isolement, de fragilité comme j’en avais rarement éprouvé. Ce sont des miettes d’archipels, éparpillées à des milliers de kilomètres des continents – Asie, Australie, Amérique. Avec les entrelacs calcaires des barrières récifales pour toute protection.




J’en reviens. Les yeux encore pleins de bleu.
Maupiti, Rangiroa, Moorea… Je vous raconte bientôt cette nouvelle et extraordinaire escapade.
Mais si vous n’en pouvez plus d’attendre que je reprenne un rythme de publication décent, vous pouvez déjà aller lire, sur le blog Plus Loin, les impressions de ma pote tourdumondiste, avec qui j’ai partagé un bout de cette escale polynésienne.
(Ah, et puis, en plus, il faut aussi que je poursuive mon récit sur Raja Ampat…)
😉