Thailand: Islands - February 2009
Dear English-speaking readers, this page is an automatic translation made from a post originally written in French. My apologies for any strange sentences and funny mistakes that may have been generated during the process. If you are reading French, click on the French flag below to access the original and correct text:
Pas d’appareil, pas de photos sous l’eau… Retour sur mes déboires photographiques avec mon Canon Powershot A95, en Thaïlande.
A real saga ...
Vous êtes nombreux à me poser la question, car je n’ai pas raconté la fin de l’histoire : mon petit compact a en effet rendu l’âme en Thaïlande. Mais j’ai trouvé à le remplacer, à Koh Lipe, par un autre boîtier. Le même modèle, un Canon Powershot A95, bought back from another diver.
Ça, c’est pour la version courte. En fait, cette histoire d’appareil-photo est digne d’un épisode de Mac Gyver…

Mon APN a commencer à déconner à Koh Yao Noi, en début de séjour. Visiblement un problème électronique interne: plus aucune indication sur l’écran, qui restait désespérément noir dans le mode prise de vue. J’ai tenté de prendre des photos quand même: ça prenait une image noire. En mode lecture, en revanche, tout fonctionnait nickel: menus, visionnage des images déjà prises, etc.
There must have been some kind of false contact somewhere.
Parfois, il me suffisait de le rallumer et de l’éteindre plusieurs fois d’affilée pour le ramener à la vie. Ou de switcher d’un mode à l’autre. L’écran daignait alors à nouveau fonctionner en mode prise de vue et restait coopératif tant que je le laissais sur On.
Then, from day to day, he became more and more capricious. One shot he was walking, one more shot.
Mort de l’appareil aux Similan
Il m’a définitivement lâché en fin de journée, le 4 avril, sur le bateau de la croisière-plongée, après la visite de l’île n°8 des Similan.

Mais j’ai eu de la chance dans mon malheur pour la suite de la croisière: une dive-master m’a gentiment prêté son appareil avec un caisson.
Un autre Powershot, mais moins performant et moins commode que le mien: je n’avais même pas accès à l’ensemble des réglages manuels, les boutons du caisson n’étant pas prévus pour; ses batteries ne tenaient pas longtemps et chauffaient grave, si bien que j’avais systématiquement de la buée en fin de plongée… J’ai rusé tant bien que mal en mode Tv (temps prioritaire) pour boutiquer drinking pictures.
System D and solidarity in Koh Lipe
Une fois à Koh Lipe, j’ai emprunté, le premier jour, pour des photos-souvenirs “terrestres”, un petit APN à Julien, un Belge qui passait son Divemaster chez Forra. J’ai fait le tour des plages et mitraillé à fond!
J’ai aussi fait le tour des boutiques de Koh Lipe, au cas où. Mais je n’ai trouvé qu’un lecteur MP3 capable de faire quelques photos de piètre qualité, et… ce gadget à touristes :

Le fameux masque-caméra sorti il y a quelques mois, vu sur tous les sites web parlant de plongée… À louer pour 750 bahts la journée. Bof. J’ai laissé tomber.
But but…
J’ai vraiment eu de la veine. Pour les photos sous l’eau, j’ai tout bonnement réussi à mettre la main sur un autre A95! Exactement le même modèle que le mien, prêté par Régis, un instructeur qui bossait chez Forra.
Sauf que… ce second appareil s’est lui aussi mis à débloquer! Mais c’était moins grave que le mien. Ça concernait juste l’écran, pas l’électronique interne du boîtier.
Une tache de pixels noirs est apparue. Et elle ne cessait de grossir et s’étendre après chaque plongée. Du coup, quand je prenais des photos sous l’eau, je faisais la mise au point au jugé, parce que bien évidemment, la tache était en plein dans le cadre du focus… Une vraie malédiction, ces A95.
Open heart surgery
Mais j’avais résolu depuis un moment de démonter mon APN, après une tentative ratée sur le bateau de plongée aux Similan. Je suis parvenue à me procurer un minuscule tournevis.
Regis then proceeded to an open-heart operation on our failing A95s. With both patients, we managed to tinker with a valid device. It was enough to graft my screen on its case.
On s’est ensuite prêté le boîtier bricolé d’un jour à l’autre, au gré de nos plongées respectives. Comme I spent the Rescue, j’ai fait peu de photos sous l’eau à Koh Lipe. Régis, lui, devait récupérer un autre appareil à Hat Yai, avant de s’envoler pour l’Australie. Du coup, la veille de son départ, il m’a cédé son boîtier pour une somme modique.
J’ai ainsi pu continuer à faire des photos jusqu’à la fin des vacances. Mais maintenant, je rumine sérieusement l’achat d’un matos digne de ce nom.
Quatre années de climat tropical et d’humidité subaquatique ont été fatales à mon petit Canon A95. J’en ai désormais un autre, de remplacement, mais rien ne dit qu’il tienne beaucoup plus longtemps. Il doit avoir sensiblement le même âge que le mien.
My future gear?
So, inevitably, I start drooling on the reflexes and caissons that go well.

Mais bon. Je vais sans doute devoir attendre un peu. C’est cher, ces petites bêtes-là. D’autant qu’il faut rajouter l’optique et les flashes. En attendant, je visite les sites qui commercialisent ces beaux joujoux. Rien n’interdit de rêver…
Small update : by the way, le rêve s’est réalisé beginning of 2010!!
😉