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Une heure dans le noir pour sauver la planète… C’est l’opération Earth HourSaturday night, in several thousand cities and more than 60 countries, by the World Wildlife Fund (WWF).
Here, the famous Petronas Towers of Kuala Lumpur, Malaysia, without light.
D’autres superbes images de cette Earth Hour all over the world, here:
" picture gallery on The Detroit Free Press (Freep.com)
Sydney a donné le coup d’envoi: l’opéra et le pont enjambant la baie ont été soudain plongés dans le noir. Sur toute la planète, les éclairages de plus de 370 monuments, parmi lesquels la Tour Eiffel, les pyramides de Gizeh, l’Acropole ou l’Empire State Building, ont été éteints. Durant quelques minutes seulement pour certains, au lieu des 60 minutes promises.
Le geste était symbolique. L’objectif étant de sensibiliser le monde entier aux économies d’énergie et au réchauffement climatique, à neuf mois du sommet de Copenhague sur ce thème. L’impact, en France, est estimé à une baisse d’un peu plus de 1% de la consommation d’électricité.
J’avoue, je n’ai rien fait de spécial pour la planète entre 20h30 et 21h30, samedi soir. J’étais en train d’envoyer un mail à une consœur pour compléter un article, pour le boulot…
Mais cette médiatique et symbolique éclipse d’électricité m’a rappelé les vols de nuit, lors de mes voyages vers l’Orient (pas écolos du tout, quand on songe au kérozène consommé par les longs courriers). Vus du ciel, pays riches et pays pauvres se reconnaissent facilement. Les premiers brillent de tout leurs feux, dessinant de somptueuses mosaïques lumineuses au sol. En comparaison, les seconds ne semblent disposer que de loupiottes…
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