Mes sacs : un gros pour le matériel de plongée et les fringues, un petit pour le matériel photo...
Mes sacs : un gros pour le matériel de plongée et les fringues, un petit pour le matériel photo...

Bagages : quel sac de plongée choisir pour voyager ?

#Préparatifs #Plongée #Voyage

  Entre deux voyages

Mon équipement de plongée et mon matériel pour la photo sous-marine occupent désormais la plus grosse part de mes bagages. Impossible pour moi de voyager léger comme avant ! Mais le principe de base reste valable : je dois être capable de trimballer mon sac de plongée et toutes mes affaires toute seule.

Avertissement : ceci n’est PAS un article sponsorisé, je ne suis affiliée à AUCUNE des marques que je cite ci-dessous dans cet article. J’ai investi peu à peu, année après année, notamment dans le matériel informatique, photographique et de plongée…

Mon sac de voyage plongée depuis juillet 2018

J’ai investi dans un nouveau sac à roulettes en 2018 pour remplacer le précédent (voir plus bas). Je le voulais conçu de la même manière :

  • un sac assez vaste pour contenir à la fois mon matériel de plongée, mes fringues et mes accessoires pour la photo sous-marine ;
  • et qui s’ouvre en deux compartiments, façon portefeuille. Pratique pour séparer le matos de plongée du reste.

J’ai là encore opté pour un sac discret, sans marque écrite en gros dessus. Selon moi, il n’y a pas pire que d’afficher le nom ou le logo d’un fabricant de matériel de plongée sur son bagage. Ça signale qu’il y a des choses de valeur dedans, et que vous êtes potentiellement un (très) riche touriste…

Mon choix s’est arrêté sur un modèle fiable, d’une marque de bagages réputée (Eastpack) qui garantit ses produits trente ans. Son nom : Transverz L.

Voici mes bagages actuels : un gros sac à roulettes Eastpack (à droite), un sac cabine à roulettes Ikea avec partie détachable en sac à dos (à gauche). (Aéroport Charles-de-Gaulle, Roissy, juillet 2018)
Voici mes bagages actuels : un gros sac à roulettes Eastpack (à droite), un sac cabine à roulettes Ikea avec partie détachable en sac à dos (à gauche). (Aéroport Charles-de-Gaulle, Roissy, juillet 2018)

Ce gros sac à roulettes Eastpack est moins cheap que mon précédent sac de chez Décathlon, et un peu plus volumineux (121 litres). J’espère qu’il durera aussi voire plus longtemps !

Pour l’instant, j’en suis très satisfaite. Il est robuste, maniable, pratique et n’attire pas l’attention.

Petite logistique de photo sous-marine

Je ne trimballe plus mes affaires dans un sac à dos comme quand j’avais 20 ans… Je transporte en effet désormais tout un équipement pour la photo sous-marine si bien que j’ai dû revoir complètement l’organisation de mes bagages !

La solution du gros sac à roulettes s’est vite imposée.

Car outre l’appareil photo reflex et son caisson étanche que je garde dans mon petit bagage cabine, je dois convoyer le pesant attirail qui va avec : la platine (support) avec ses deux poignées, les flashs et leurs batteries, les bras des flashs, le chargeur pour ces flashs, les câbles, etc. Je vous mets quelques photos ci-dessous, pour que vous donner une idée du bazar…

Oui, je ne ressemble pas vraiment à une sirène avec tout mon bazar photographique sous l'eau ! (Philippines, mai 2018 - Photo par Steven Weinberg)
Oui, je ne ressemble pas vraiment à une sirène avec tout mon bazar photographique sous l’eau ! (Philippines, mai 2018 – Photo par Steven Weinberg)
Mon attirail pour la photo sous-marine.
Le même attirail, démonté…
Et voilà ! L'appareil est prêt à m'accompagner sous l'eau ! (Romblon, Philippines, mars 2017)
Ma configuration actuelle (depuis 2016), avec deux flashs.
Le petit bazar que je me coltine en voyage pour pouvoir faire des photos sous l'eau... À droite, mon appareil avec son nouvel objectif 100mm macro. Seuls les éléments les plus fragiles, à savoir l'appareil photo et les objectifs, son caisson et ses hublots, restent dans mon sac cabine. Je mets tout le reste en soute. (Romblon, Philippines, mars 2017)
Le petit bazar que je me coltine en voyage pour pouvoir faire des photos sous l’eau… Et encore, ne figurent pas sur la photo le dôme et l’objectif pour les photos grand angle. À droite, mon appareil avec son objectif 100mm macro. Seuls les éléments les plus fragiles (appareil photo, objectifs, caisson et hublots) restent dans mon sac cabine. Je mets tout le reste en soute. (Romblon, Philippines, mars 2017)

L’épineuse question du bagage “cabine”

Outre mon gros bagage à roulettes destiné à aller en soute lors des voyages en avion, j’ai donc avec moi un “petit” sac cabine, à roulettes lui aussi, volumineux et transformable en sac à dos, déniché dans le magasin d’une grande chaîne d’ameublement suédoise (Ikea)

L’intérêt, c’est qu’il se divise en deux petits bagages grâce à un zip :
– la partie arrière, qui roule et qui est pile au format cabine standard autorisé ;
– la partie avant, qui se transforme mini petit sac à dos parfait pour mon ordinateur MacBook Pro 15′ et mes papiers. Tous les zips peuvent être sécurisés par de petits cadenas.

Je répartis dans ce bagage cabine “deux en un” tout ce qui est fragile et/ou précieux et que je ne veux pas mettre en soute :

Dans la partie principale du sac qui roule : le caisson étanche Ikelite pour mon 7D et ses deux hublots (dôme grand angle + hublot macro), le Canon Eos 7D et ses objectifs, le matériel électronique fragile (ordinateur de plongée et disque dur de sauvegarde), une veste polaire pour les transports (en particulier en Asie où la clim est souvent poussée à fond) et un mini-change d’urgence (pour le cas où le bagage en soute contenant les fringues n’aurait pas suivi, précaution que je prends depuis que ça m’est arrivé en 2015 → Partir sur une île loin de tout).

Dans le petit sac détachable : mon MacBook Pro 15 pouces, mon iPhone, l’argent et les papiers, ainsi que mon kit de survie pour l’avion (masque, bouchons d’oreille, chaussettes de contention, brosse à dents). En général, je garde ce sac détachable avec moi dans l’avion, glissé sous le siège en face de moi, et je place l’autre dans le compartiment à bagages en hauteur.

NB. J’ai cet astucieux sac cabine transformable depuis 2016 (avant, j’avais un bête petit sac à dos, qui pesait un peu lourd sur mes épaules, avec tout ce bardas, dans les couloirs d’aéroport)… Je suis ravie de ma trouvaille, ce nouveau petit sac à roulettes est parfaitement adapté aux voyages en avion !

La question du surpoids bagage

Comme je disais plus haut, je ne mets en soute qu’un seul gros sac à rouler. Ce bagage à roulettes, divisé en deux compartiments façon “portefeuille”, contient donc :

  • d’un côté, mon équipement de plongée complet ;
  • de l’autre côté, quelques fringues et des accessoires un peu pesants liés à la photographie subaquatique que j’évoquais ci-dessus (les flashs et leurs batteries d’un modèle autorisé en soute, le chargeur pour ces batteries, les bras des flashs et la platine du caisson, entre autres).

Heureusement qu’il roule, ce sac ! Le tout atteint facilement 28-29 kg…  😱

À cause des les kilos supplémentaires que représentent mes accessoires pour la photo (environ 5 kg de plus), je n’arrive pas à rester dans la limite des 20-23 kg habituellement autorisés en classe éco sur les vols internationaux. Je voyage donc de préférence, pour les trajets depuis/vers la France, sur des compagnies aériennes desservant l’Asie qui autorisent sans surcoût 30 kg en soute (Emirates Airlines, Malaysia Airlines, Qatar Airways, Turkish Airlines…).

Les frais de surpoids sont rarement un problème sur les compagnies locales que j’emprunte souvent (indonésiennes, malaisiennes, philippines) : ils sont très peu élevés comparés à l’Europe. On peut soit les pré-payer au moment de la réservation en ligne, soit les régler au moment de l’enregistrement, et ils sont alors parfois facturés avec “discount” à la tête du client (et surtout de la cliente, quand elle fait un grand sourire au comptoir du check-in et dit bonjour dans la langue du pays)… 😉

Pour les vols entre pays d’Asie, j’emprunte souvent Air Asia qui permet d’acheter au moment de la réservation, au-delà des 15 kg de base pour les bagages en soute, des kilos supplémentaires jusqu’à un total de 30kg…

Attention sur Emirates : lors de l’escale à Dubaï, cette compagnie a pour habitude de contrôler À NOUVEAU le poids des bagages à main des voyageurs. Des employés vous attendent avec une balance, juste avant l’accès à la salle d’embarquement… Mieux vaut ne pas dépasser les 7 kg autorisés, ils sont très stricts, le kilo supplémentaire est facturé au prix fort (et impossible d’embarquer dans l’avion sans payer). Pour les photographes : je conseille donc de sortir du sac cabine tout ce qui est lourd. Le plus simple est de porter son appareil autour du cou et de glisser ses objectifs dans une veste multipoches…

2010-2018 : mon premier sac à roulettes

Ça, c’est le sac qui m’a fidèlement accompagné de 2010 à 2018, dans tous mes voyages plongée : un sac à roulettes de 90 litres, léger et pas cher, déniché dans une grande chaîne de magasins de sport (Decathlon), début 2010 (ce sac Newfeel n’est plus commercialisé aujourd’hui).

Sa conception en deux compartiments était bien pratique. Mon équipement de plongée complet était casé d’un côté. Les fringues et une partie de mon bardas de photographe subaquatique de l’autre.

J’ai revu complètement ma logistique bagages à partir de 2010, quand j’ai commencé à transporter du matériel photo un peu plus conséquent pour faire des images sous l’eau. J’en parle dans ces articles :

→ Fini le sac à dos, vive le sac à roulettes !

→ Photo et plongée : mon matériel

J’ai renoncé sans regret à mon statut de “backpackeuse” portant toutes ses affaires sur le dos / à l’épaule. C’est beaucoup moins épuisant d’être une “rollpackeuse”… 😂

Ce sac à roulettes, compact et discret, attirait beaucoup moins l’attention que les volumineux sacs de voyage pour plongeurs, qui ont tous un nom de marque bien repérable écrit en gros dessus. Il a tenu la route huit ans, à raison de 3 à 4 voyages par an et a souvent été malmené !

Mes sacs : un gros pour le matériel de plongée et les fringues, un petit pour le matériel photo...
Mes sacs : un gros pour le matériel de plongée et les fringues, un petit pour le matériel photo…

J’en étais très contente, jusqu’à ce qu’il me lâche en mai 2018, au retour d’un voyage aux Philippines.

La poignée a fini par sortir de son rail et les deux coins en bas à l’avant étaient tout râpés. En revanche, les fermetures tenaient toujours et l’ensemble de la toile était toujours en bon état. Plutôt robuste, donc, malgré son tout petit prix, un très bon investissement.

Jusqu’en 2009 : mes bagages de backpackeuse

La photo ci-dessous, c’était mon paquetage de baroudeuse-plongeuse, avant 2010. J’étais alors une voyageuse avec sac à dos, une “backpackeuse”. Je n’avais pas encore investi dans un caisson étanche pour emmener sous l’eau mon appareil-photo reflex (Canon Eos 7D), qui représente aujourd’hui tout un attirail supplémentaire à transporter.

Gros sac à dos (vert) + sac de plongée (noir) + petit sac à dos "cabine".
Gros sac à dos (vert) + sac de plongée (noir) + petit sac à dos “cabine”.

Je me déplaçais alors avec les trois bagages suivants :

  • 1. Un gros sac à dos (le truc en vert) pour les fringues et le reste (10-12 kg)
  • 2. Un sac-boudin avec lanière à l’épaule pour l’équipement de plongée (10-11 kg)
  • 3. Un petit sac à dos, mon bagage “cabine”, où je rangeais mon appareil-photo compact de l’époque et son petit caisson, l’ordinateur portable et les petites choses fragiles et/ou précieuses (iPhone, papiers, argent)…

Tout ça rentrait donc grosso-modo dans la limitation habituellement pratiquée, à l’époque, en classe éco pour les bagages : une vingtaine de kilos en soute (mes deux gros sacs) + quelques kilos en cabine.

Fringues : le minimum tropical

Et pour le reste, on met quoi, dans ses bagages, pour un séjour en Asie du Sud-Est ou dans des îles tropicales ? Aussi peu de choses que possible ! 😎  🌴 Au fil de mes périples en Asie, j’ai ainsi appris à n’emporter que l’essentiel. J’ai dressé une petite liste récapitulative ci-dessous.

Vive les vêtements d’été ! Mes destinations habituelles jouissent du même climat : chaud et humide. Pas la peine de s’encombrer : s’il me manque quelque chose, je l’achète sur place (en plus, c’est bien moins cher qu’en France). Aucun souci pour se procurer tongs, tee-shirts ou sarongs en Asie !

Vêtements : les hauts

  • quelques tops à bretelles pour les endroits “balnéaires”
  • deux tee-shirts couvrant les épaules et plusieurs tuniques fines à manches longues. À la fois pour respecter certains lieux et situations (villes, pays musulmans, temples) et comme protection contre les moustiques le soir. De préférence des choses faciles à laver et à assortir avec n’importe quel bas.
  • une petite veste en polaire pour tous les endroits climatisés qui sont souvent en mode “frigo” (avion, bus, bateaux, shopping malls, etc.)

Vêtements : les bas

  • un pantacourt
  • un pantalon long (pour le voyage en avion, et pour les endroits et circonstances où il ne vaut mieux pas, en tant que femme, être jambes nues)
  • une jupe et/ou une robe d’été à bretelles
  • un ou deux shorts

Les sous-vêtements

  • culottes et soutiens-gorge : du simple et du confortable
  • en quantité suffisante pour une semaine

Aux pieds

  • une paire de baskets en toile que je porte dans l’avion, qui sert ensuite seulement quand il faut marcher un peu
  • une paire de tongs qui ne pèse rien dans le sac et que j’ai quasi en permanence aux pieds sur place

Je ne suis pas trekkeuse, donc je ne m’encombre pas de lourdes chaussures de randonnée ni de chaussettes…

Mes accessoires indispensables

  • 3 ou 4 maillots de bain (je suis tout le temps dans l’eau, j’aime bien changer)
  • 2 à 3 paréos ou sarongs (un “propre”, un ou deux autres pour la plage et les sorties en mer, j’en rachète souvent de nouveaux sur place)
  • un hamac (un de ces modèles légers comme on en trouve partout en Asie)
  • des lunettes de soleil

Je ne prends plus de serviette de bain depuis longtemps, on vous en fournit partout désormais.

Affaires de toilette

  • Shampoing, après-shampoing, gel douche ou savon, dentifrice, crème hydratante, crème solaire, etc. Avant, je les prenais en quantités minimales en petits flacons pour l’arrivée, car j’achetais souvent mes produits de toilette sur place histoire de gagner en poids dans les bagages. Désormais, j’utilise des produits biodégradables pour polluer le moins possible et comme on n’en trouve pas facilement en voyage, j’emporte la quantité nécessaire avec moi.
  • Brosse à dents, brosse à cheveux, élastiques à cheveux, pince à épiler, rasoir, etc.

Spécial filles : que vous soyez tampons, cup ou serviettes, mieux vaut penser à emporter ses protections hygiéniques, on n’est pas certaines de trouver la solution que l’on préfère partout, en particulier les tampons…

Médocs : petite pharmacie à bobos

Ma trousse à pharmacie n’a cessé de se réduire au fil de mes voyages, le plus souvent à destination de l’Asie et des archipels de l’Indo-Pacifique… Dites-vous bien que dans les endroits touristiques et grandes villes, il y a généralement des infrastructures médicales en cas de vrai problème.

Globalement, le risque de contracter une maladie grave est minime pour un voyageur occidental en bonne santé, bien nourri, qui a ses vaccins à jour. Et si cela arrive, on ne se soignera pas soi-même : on consultera un médecin sur place ou on fera appel aux services d’une assistance / assurance pour voyageurs.

Je me contente donc ici de dispenser des conseils de bon sens, pour les petits soucis éventuels en voyage, pas pour les situations graves. Ces conseils ne sauraient bien évidemment se substituer à un avis médical. Mais vu le prix exorbitant de certains médicaments (qui bien souvent ne serviront pas), le mieux est de n’emporter avec soi que de quoi soigner les petits troubles et petits bobos.

Covid-19. Cet article date d’avant la pandémie… Outre les recommandations santé de base rappelées ici, si vous parvenez à voyager malgré les restrictions imposées par la situation sanitaire liée au coronavirus, pensez bien à prendre les précautions pour vous protéger et protéger les autres : masque, distanciation, lavage des mains (savon et gel hydroalcoolique).

Les trucs vraiment utiles

Les problèmes auxquels on a le plus de risques d’être confronté : la fameuse tourista (diarrhée du voyageur) et les petites plaies (piqûres, égratignures, coupures, ampoules, qui cicatrisent mal en climat humide et peuvent s’infecter).

Donc, ce qui est vraiment utile dans une trousse à pharmacie de voyage : c’est au minimum un anti-diarrhéique, ainsi que des pansements stériles et un désinfectant type Bétadine (soyez vigilants sur tous les petits bobos sur les pieds, vu qu’on se balade tout le temps pieds nus, en tongs, ça peut s’infecter très facilement). J’ai désormais avec moi aussi des pansements étanches adaptés pour protéger une plaie quand je plonge, l’eau salée ne faisant qu’aggraver la situation sinon…

Éventuellement des antibiotiques, si vous savez que vous passerez du temps loin de toute ville (où on peut trouver médecin et/ou pharmacie). Il m’est par exemple déjà arrivé de devoir trouver en urgence une pharmacie entre deux avions en Indonésie, afin de me faire délivrer des antibiotiques pour trois jours, histoire de stopper l’infection d’une ampoule de palmes (sic !) qui avait dégénéré.

Pour les petits maux ordinaires, j’emporte aussi quelques cachets d’anti-douleur à base de paracétamol, type Doliprane ou équivalent.

Enfin, très utiles pour la plongeuse que je suis : des gouttes pour soigner les otites externes (causées par des oreilles mal rincées après les immersions). Les plus efficaces pour ce type d’infection, parmi celles que j’ai testées : celles qui portent le nom d’Ottopain en Indonésie ou Panotile en France.

Moustiques et paludisme

Le paludisme (appelé aussi malaria) est une maladie infectieuse potentiellement mortelle, causée par des parasites du genre Plasmodium, transmis par les moustiques quand ils nous piquent.

Le paludisme ne sévit pas partout dans les régions équatoriales ou tropicales du monde, ni dans un même pays considéré comme zone impaludée. Je veux dire par là : pas la peine de prendre un traitement préventif quand on va à Phuket, par exemple… Pour les zones impaludées, il est évidemment conseillé de consulter un médecin avant de partir. Lui seul pourra vous informer correctement sur les risques de contamination là où vous allez et sur la meilleure façon de les prévenir.

Ce n’est pas une question à prendre à la légère. Comme le rappellent à juste titre de nombreux voyageurs sur internet, il suffit d’une seule piqûre d’un moustique porteur du parasite pour être infecté à vie…

Mon arme contre les moustiques.

Pour ma part, il est rare que je prenne un traitement antipaludéen. On me pose souvent la question et je suis toujours un peu embêtée pour répondre, sachant que cela peut influencer la décision d’autres personnes. Or il s’agit d’un choix personnel, dont j’assume le risque pour moi-même, en connaissance de cause.

Ma décision ne peut en aucun cas se substituer à un avis médical et n’a pas valeur de recommandation. À chacun de prendre ses responsabilités avec sa santé.

Je me contente généralement des précautions de base les plus simples, qui ont fait leur preuve : répulsif antimoustique, manches et pantalon longs à la tombée de la nuit si besoin, fermeture soigneuse de la moustiquaire autour du lit s’il y en a une et que la chambre n’est pas close.

Je vous invite à lire cet excellent article publié par François du blog Tourdumondiste, qui explique tout très bien, avec informations sérieuses (sourcées) et conseils avisés → Doit-on prendre des médicaments contre le paludisme en voyage ?

Il n’y a pas que le paludisme à redouter : les moustiques peuvent aussi transmettre la dengue, notamment. Se protéger avec répulsif et vêtements longs reste donc une précaution de base dans tous les cas.

Techno : un superflu indispensable

Là, j’avoue, je me charge un peu. Je suis accro à mes jouets ! J’ai longtemps voyagé sans ordi, du temps où j’étais une vraie backpackeuse, mais c’est fini. À cette époque, pour me connecter au web et tenir à jour ce blog pendant mes voyages, je passais des heures dans les cafés internet locaux…

1. Ordinateur portable

La première fois que je me suis décidée à partir avec un ordinateur portable, j’ai d’abord opté pour un netbook (un PC portable) tout léger et pas trop cher, le petit Medion Akoya (lire ici → Mon mini-ordi de technomade). Mais à partir de 2010, quand j’ai acquis mon appareil photo reflex Canon 7D qui fait de la vidéo en HD, j’y ai renoncé : ce petit ordinateur n’était pas assez puissant…

À la place, j’ai emporté la fois suivante mon vieux MacBook Pro 15 pouces. Seulement, il m’a fait des frayeurs en tombant en rade, avec un bel écran noir : il n’a pas du tout aimé l’humidité et la chaleur. Il a repris vie ensuite, au retour, mais cette machine commençait déjà à être obsolète à l’époque. Les jouets technologiques évoluent à toute vitesse !!!

Alors, en janvier 2011, j’ai craqué pour un MacBook Air 13 pouces, un de ceux de la première génération, tout léger, vraiment bien. Je l’ai adoré et j’ai voyagé avec plusieurs années. Mais pareillement, il a fini par ne plus me suffire, avec le stock de photos Raw et de vidéos que j’accumulais… Sa lenteur, face aux nouveaux logiciels et aux fichiers toujours plus volumineux, devenait exaspérante.

Mon MacBook Air. Chez Ankermi, à Maumere. Flores, Indonésie, juillet 2011.
Mon MacBook Air 11 pouces, chez Ankermi Happy Dive, à Maumere. (Flores, Indonésie, juillet 2011)

Alors, en juin 2016, j’ai investi dans une nouvelle machine, capable de traiter sans traîner quantité de gros fichiers et qui devrait pouvoir durer plusieurs années : un MacBook Pro 15 pouces à écran Retina de mi-2015 (photo ci-dessous).

Sympa, mon bureau de blogueuse ! (Lembeh, Sulawesi, juillet 2017)
Sympa, mon bureau de blogueuse voyageuse plongeuse ! (Lembeh, Sulawesi, Indonésie, juillet 2017)

Je l’ai acheté reconditionné (ce sont des ordinateurs qui ont été utilisé en présentation en magasin et qui ont été remis en état pour la vente ensuite, ça permet une économie conséquente, par rapport à un modèle neuf) sur le Refurb Store de la marque à la pomme.

J’ai pris soin de choisir un modèle bien gonflé en puissance (16Go de mémoire RAM + processeur 2,5GHz Intel Core i7) et en stockage (1To de mémoire flash), afin de pouvoir traiter sans ramer de lourds fichiers photos et vidéos, et dans l’espoir qu’il ne sera ainsi pas trop vite obsolète…

Avec la quantité d’images sous-marines que je fais maintenant, je n’imagine plus voyager sans ordinateur. Je peux rédiger mes textes quand je veux, depuis ma chambre ou ma terrasse, trier mes photos au fur et à mesure sur Lightroom, monter des vidéos et me connecter à internet, soit en utilisant une connexion wifi quand il y en a une, soit en utilisant la connexion partagée de mon iPhone dans lequel j’ai mis une carte SIM locale (ce n’est pas cher du tout en Asie, très pratique pour se connecter via le réseau mobile).

2. Matériel photo et vidéo

Depuis janvier 2010, je voyage donc avec un appareil-photo reflex qui fait aussi de la vidéo, l’Eos 7D de Canon (rien à voir avec le petit compact numérique Powershot A95 de Canon qui m’accompagnais auparavant). J’en suis très contente, même s’il est pas mal lourd et encombrant.

Il ne m’a jamais lâchée, il est robuste, supporte bien les conditions humides que je lui inflige régulièrement, et est capable de faire de superbes images sous l’eau.

Je n’ai pas encore renouvelé ce matériel (ça représente un budget conséquent, d’autant qu’il faudrait racheter un caisson pour un nouvel appareil, ces choses-là ne sont pas interchangeables, et un caisson, ça coûte grosso-modo le même prix que le boîtier 😱 ).

Avant, j’avais aussi un appareil compact en secours, pour les photos terrestres, mais l’iPhone est aujourd’hui devenu mon second appareil photo. En quelques années, la qualité du capteur des smartphones est devenue excellente.

En 2019, j’ai acquis un mini-reflex en appareil secondaire pour des photos terrestres, le Canon Eos 250D. Extrêmement léger, pas cher, il est considéré comme un reflex de “débutants”. Mais il me semble posséder ce qu’il faut de technologie pour être un boîtier pratique et polyvalent en voyage. J’en parlerai quand je l’aurai davantage testé sur le terrain. Ça devenait compliqué pour moi de sortir le 7D du caisson après chaque plongée quand j’en avais besoin pour des photos que je ne souhaitais pas faire à l’iPhone.

Pour le 7D, j’emporte plusieurs cartes-mémoire de 32Go et 16Go, une batterie de rechange et son chargeur. Pour le 250D, j’ai deux cartes mémoires SD, une 8Go hérité d’un ancien appareil, une 32Go au débit rapide, adaptée à la vidéo, ainsi qu’une batterie de rechange et le chargeur.

Mes objectifs (voir ici → Photo et plongée : mon équipement) sont interchangeables sur les deux boîtiers.

Enfin, j’ai également un disque dur portable SSD de 500Go pour faire une sauvegarde des photos et vidéos (je décharge et stocke les originaux sur mon MacBook Pro).

Pour les prises de vue sous l’eau, comme je l’expliquais plus haut, je transporte aussi le caisson Ikelite pour mon reflex (ainsi que ses accessoires : les flashs et leur chargeur, les bras des flashs, les cordons, la platine, les hublots…).

3. iPhone

J’en parlais aussi plus haut. J’ai actuellement l’iPhone X et c’est vraiment mon second appareil photo désormais. Il permet de faire des images sans attirer l’attention, tout le monde sort son smartphone pour faire des photos en Asie ! On l’a toujours sous la main, vraiment pratique.

Pour tout ce qui est communications (téléphone, SMS, internet), j’y mets une SIM locale le temps du voyage, ça permet d’avoir accès à internet en 3G et 4G quand il y a du réseau et ça évite les frais de roaming. Il sert ainsi de “modem” à l’ordinateur via le partage de connexion, quand il n’y a pas de wifi à disposition et que je n’ai que le réseau téléphonique local pour me connecter à internet.

NB. En ce mois de juin 2019, viens de découvrir avec dépit que les nouveaux iPhone XR et XS permettent depuis peu l’utilisation d’e-SIM, mais pas l’iPhone X que j’ai… Dommage pour moi, l’e-SIM est virtuelle, permettant donc de garder son numéro habituel associé à l’iPhone sans SIM physique. On peut donc glisser une deuxième carte SIM physique dans l’appareil, par exemple une SIM locale, sans se priver du premier numéro… Le genre de truc parfait pour moi !

4. Câbles

Dans les hébergements modestes, il est rare de disposer de plus d’une prise électrique. Et elle est parfois installée dans des endroits bizarres, en hauteur, ou bien près de la porte, ou dans un coin inaccessible derrière le lit… J’emporte donc une multiprise, pour brancher tout ce petit monde plus facilement. Je vérifie avant de partir le type de prise du pays pour prendre l’adaptateur qui va bien (mais en cas d’oubli, ça se trouve sur place).

J’ai également une clé USB, un lecteur de cartes-mémoire pour décharger mes photos et bien sûr le câble et la prise pour iPhone.

  Entre deux voyages

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

  1. ça fait un bagage qui pèse combien de kilos tout ça ?
    C’est pas une boutade, j’aimerais vraiment savoir avec combien tu voyages, car ta liste me semble très bonne, et moi, j’ai toujours trop de kgs, c’est vraiment un handicape qui me “pèse” en voyage.

    Et encore il n’y a pas de multi climats comme quand on voyage dans un pays, mi tropical-plage et mi montagnes à 4000 m. Entre les chaussures de petite randonnée, et les “polaire, coupe vent, anorak” …

    Le iPod, une bonne idée. tu voyages avec un iPod de combien de Go ?

    merci de tes renseignements.

  2. @Joce: Le sac à dos pèse 12kg environ, parfois il même est monté jusqu’à 14kg… Ce sont tous les câbles, piles, matériel électrique qui finissent par faire lourd. Je ne peux guère me permettre d’aller au-delà, vu que j’ai aussi le sac de plongée qui pèse dans les 10kg [EDIT : plutôt 11-12kg, maintenant que je mets le détendeur avec le reste]. Or la plupart des compagnies tolèrent 20-22kg au total en soute, mais guère plus.
    Quant à mon iPod, c’est ancien modèle, qui ne fait “que” 60Go.
    😉

  3. Bonjour Corinne, je prends bien note de ton sac à dos qui semble bien organisé, j’aurais pour ma part les chaussures randos en plus mais bon, je peux les avoir aux pieds dans l’avion. C’est le sac de plongée qui me fait plus de soucis. Le mien pèse à lui seul 20 kg, problème… J’ai une stab un peu trop lourde, halcyon, géniale mais pas facile à transporter. Je pourrais peut-être en acheter une autre plus légère pour le voyage. Je vais me promener de l’Inde du sud à la nouvelle Zélande entre le mois de septembre 2009 et mai 2010, je vais passer par la thaïlande, la malaisie, l’indonésie puis Australie et enfin NZ. Toi quel matériel apportes tu? Merci pour ta réponse

  4. @debullenbulle: Bonjour, et bienvenue sur Petites Bulles d’Ailleurs! Avec un pseudo pareil, tu es au bon endroit! 😉

    Mon sac de plongée, qui fait dans les 8-9kg, contient:
    – masque
    – palmes Mares AdvantiX-3
    – botillons
    – stab Seac Sub Pro Lady XS (j’investirai dans plus léger un jour)
    – combi 5mm (avant je prenais une 3mm, beaucoup plus légère)
    – accessoires: tuba mou, petit parachute, couteau, lampe (sans les piles pour le transport)

    Astuce n°1: le sac en lui-même est tout léger, je pense que c’est là que je gagne du poids par rapport à d’autres: simple sac filet avec zip, glissé pour les transports dans un sac polochon qui se ferme par le haut (le tout trouvé dans une grande chaîne de magasins de sport qui nous incite à être “À fond la forme”). C’est le boudin noir et gris avec liseré orange que tu vois sur la photo.

    Astuce n°2: je garde mon détendeur (Legend ACD) dans mon sac “de cabine” quand je prends l’avion, histoire d’alléger le poids en soute.

    Il me fait envie ton périple… Pile le genre d’itinéraire que je ferais bien si je disposais de quelques mois de liberté et de quelques sous de réserve.
    Bons préparatifs!
    8)

  5. Bonjour Corinne, oui je vais me mettre en quête d’une stab légère car la mienne a une plaque de stainless de 6 lbs et un support lui aussi en stainless. J’avais fait le deuil de mon matériel mais grâce à toi j’ai pris la décision de l’apporter. C’est formidable de faire partager ton expérience. Merci. Quoique tu penses je ne suis pas bien riche mais justement il me semble qu’un voyage plus long revient moins cher, peut-être trouverais-je un peu de travail, qui sait… Et puis la vie te mène parfois à un carrefour qui sent l’aventure. Je fais confiance pour le retour. Je sais que je serai amplement énergisée par l’Asie.
    Ton blog me motive et me rassure. Je pars seule moi aussi, pour fêter mes 50 ans. J’aime beaucoup l’idée de downloader des chapîtres de Lonely planet, vraiment astucieux.

  6. @debullenbulle: L’essentiel est que tu sois capable de tout porter (sac à plouf + sac à fringues) toute seule. C’est vraiment le critère déterminant. Au-delà d’une vingtaine de kilos, ça devient galère, de toute façon. Au pire, tu pars sans stab et tu en loue une sur place. Lors de mes premiers voyages, quand je n’avais pas encore tout mon matos, c’est ce que je faisais. Et puis, sur un si long périple, pour ce qui est des fringues et du reste, tu peux acheter des trucs en cours de route, au fur et à mesure, et te délester d’autres trucs, selon tes besoins du moment.

    Je ne supposais pas que tu étais “riche”, au contraire, ce que tu dis est très juste: plus le voyage est long, plus ça vaut le coup. D’ailleurs, ton périple ressemble bien à un projet qui mûrit secrètement en moi et que je réaliserai sans doute un jour… Lors de mes voyages, j’ai rencontré des tas de gens, ni plus ni moins fortunés que toi ou moi, qui voyageaient sur le long terme, en bossant un peu, çà et là, d’un centre de plongée à un autre, au gré des rencontres, des envies, des opportunités. Et en trimballant leur matos! Vraiment, l’Asie est une destination fabuleuse pour les petits budgets et les “solo travelers”.

    Pour ma part, je n’en suis pas encore à un “carrefour” je me contente pour l’instant de mes périodes de congés pour voyager, mais j’en reviens chaque fois plus frustrée (toujours trop court!), avec l’envie de repartir…
    🙄

  7. Bonjour Corinne,
    En fait, j’ai mis ma belle grosse stab en vente sur plongeur.com. De toute façon trop tech pour moi. Merci pour ta réponse aussi diligente que prévenante. à plus Cô

  8. Salut

    Je suis très impressionne par ton blog et ce post tres pratique et super clair pour qui veut se lancer du bon pied dans les voyages longue distance !

    Je voulais juste réagir a deux infos : la “trousse pharmacie” du voyageur et le palu.

    Trousse pharmacie : je voyage personnellement un tout petit peu plus lourd que toi car, meme si l’on trouve bcp de produits en capitales (bien que pour la Biafine, par exemple, c’est pas gagne !), les coins plus recules ne proposent souvent pas grand chose (je pense par exemple au Cambodge, au Laos, a la Birmanie, a certains coins de Thailande ou des Philippines, etc.). De plus, une proportion non negligeable de produits pharmaceutiques disponibles en Asie sont des contrefaçons et passer la porte d’un lieu marque “Pharmacie” est rarement un gage de qualité, prudence donc.
    Autre chose a propos de l’aspirine : ce produit, bien que tres courant en France, est loin d’etre anodin. Il inhibe – notamment – l’agrégation plaquettaire et, a ce titre, est inutilisable dans les zones de dengue (Asie du Sud Est, Amerique du Sud, Afrique) car il y a un risque accru d’hemorragie. Il est donc conseille de lui preferer le paracetamol.

    Paludisme (“malaria” en anglais) : on pourrait comprendre de ta phrase que les moustiques transmetteurs du palu “fuient” devant les touristes. Il n’en est malheureusement rien ! De nombreuses zones touristiques sont aussi impaludees. Donc, la encore, prudence, le mieux etant de se renseigner sur sa destination et de consulter si necessaire un medecin specialise medecine tropicale. Et puisque le but est de ne pas se faire piquer, dormir systematiquement sous une moustiquaire est une excellente chose !

    Les tropiques, c’est super, ne ramenez pas de mauvais souvenirs !!

    @+
    Ben

  9. @Ben: Bonjour et bienvenue sur Petites Bulles d’Ailleurs! Merci de tes remarques, que je ne peux qu’approuver, bien sûr. Très juste pour le paracétamol et la moustiquaire.

    Mon propos, ici, sur la petite pharmacie de voyage, était de “dédramatiser”. Il va de soi que si les touristes faisaient fuir les moustiques porteurs du palu, ça se sauraient… 😆 J’ose espérer ne pas avoir été mal comprise sur ce point! Bien évidemment, je recommande de consulter avant de partir pour obtenir conseils professionnels et ordonnance adaptée. Une fois informé, chacun opte pour la prévention et les solutions qu’il estime les plus adaptées à son cas : c’est une question de responsabilité personnelle.

    C’est juste que j’ai parfois vu des gens emporter un arsenal pharmaceutique hallucinant (et très coûteux) pour simplement passer une semaine à Phuket… 😯

  10. Peux-tu me donner le tuyau pour aller à Phuket le moins cher possible, par la Malaisie ou autre ? Ton site est remarquable, merci.

  11. @Marie-Christine: Merci pour le compliment… 😉
    Il n ‘y a pas vraiment de “tuyau” pour aller à Phuket le moins cher possible. Le mieux, c’est de surveiller les tarifs des vols qui desservent des gros hubs aéroportuaires dans la zone, comme Bangkok, Kuala Lumpur, Singapour… Ainsi que les promos de compagnies comme Thai Airways ou Malaysia Airlines. Une fois à Bangkok, KL ou Singapour, on peut prendre un vol pas cher avec Air Asia pour la destination finale, Phuket dans ton cas.
    Pour ma part, pour repérer les tarifs les moins chers, j’utilise un moteur de recherche très bien fichu, qui permet d’indiquer plusieurs dates de départ et de retour: Partirou.com. Ensuite, je vais voir directement sur les sites des compagnies aériennes indiquées.
    Bons préparatifs !
    🙂

  12. Bonjour,

    Super site!!! 😉

    Pleins de conseils, beau design, etc.
    Non, franchement ! Mérite d’être connu!

    Nous partons à Bali début et je compte également créér un blog sur nos différents voyages. Je compte bien y promouvoir votre blog.

    Bonne continuation
    😀

    Lili
    de Yaya&Lili

  13. @Yaya&Lili : Bienvenue sur mes Petites Bulles d’Ailleurs!!! Je suis ravie que la balade vous plaise… Et merci pour ce gentil commentaire. Faites-moi signe quand vous aurez lancé votre blog, j’irai m’y promener à mon tour. Bons préparatifs !
    8)

  14. Écrit par Ben (voir plus haut) :
    « Trousse pharmacie : je voyage personnellement un tout petit peu plus lourd que toi car, meme si l’on trouve bcp de produits en capitales (bien que pour la Biafine, par exemple, c’est pas gagne !), les coins plus recules ne proposent souvent pas grand chose (je pense par exemple au Cambodge, au Laos, a la Birmanie, a certains coins de Thailande ou des Philippines, etc.). De plus, une proportion non negligeable de produits pharmaceutiques disponibles en Asie sont des contrefaçons et passer la porte d’un lieu marque “Pharmacie” est rarement un gage de qualité, prudence donc.
    Autre chose a propos de l’aspirine : ce produit, bien que tres courant en France, est loin d’etre anodin. Il inhibe notamment l’agrégation plaquettaire et, a ce titre, est inutilisable dans les zones de dengue (Asie du Sud Est, Amerique du Sud, Afrique) car il y a un risque accru d’hemorragie. Il est donc conseille de lui preferer le paracetamol. »

    +1

  15. @John: Es-tu le clone virtuel de Ben, qui a laissé le même commentaire (très pertinent, ceci dit), mot pour mot, un peu plus haut ?
    EDIT : Je viens de comprendre… tu cites Ben, en fait, et tu “plussoies” avec le +1… 😆
    Je rectifie la présentation de ton commentaire, pour que ça soit plus clair.

  16. Bonjour Corinne,

    Merci pour ce blog qui me fait un peu voyager au boulot en attendant de partir pour Bornéo et Sipadan dans 1 mois… D’ailleurs à propos de bagages, je me demandais si tu avais une torche et si tu l’as mettais en soute ou dans ton bagage à main?
    Je crois me souvenir qu’il y avait des soucis avec les torches de plongée et le transport aérien et lorsque je cherche sur internet et les forums, je trouve autant de versions que internet puisse en donner… As tu un avis sur ce sujet?
    Merci d’avance & longue vie à ce blog.

    Aurélie

  17. @Aurélie: Bienvenue sur mes Petites Bulles d’Ailleurs !!!

    Pour l’éclairage sub, je mets tout en soute. Je n’ai qu’une toute petite torche dont je retire simplement les piles, et un flash Ikelite pour mon appareil photo, que je fais pareillement voyager séparé de la partie “batterie”. Comme ça, aucun danger que l’un ou l’autre s’allument par accident dans le sac en soute.

    Tu vas te régaler à Sipadan… Bons préparatifs !
    8)

  18. La multi-prises française a souvent été inutilisable en Thailande. Le hic, c’est quand il faut brancher le ventilateur sur l’une de ces entrées de la multi-prises, parce que les ventilateurs en Thailande, ils ont des prises plates comme tu sais. Et comme souvent moi aussi je me suis trouvée avec une seule prise de courant dans la chambre !!!
    J’ai réussi à voyager cette fois-ci au départ avec 10,5 kgs (suis fière c’est la 1ere fois) + le sac de la journée, 20 l, contenant le notebook et ses câbles. Suis rentrée avec 15 kgs. pas de matériel d eplongée comme toi, mais aussi pas mal d’électronique, entre ordinateur, HD ext, clés USB, lecteur de cartes, app. photo (petit) et téléphone + les chargeurs.
    Connais-tu Marie-Ange de http://www.unmondeailleurs.net/ une super plongeuse elle aussi (et photographe).

  19. @Joce: J’ai aussi un adaptateur à prise plate, sur lequel brancher la multiprise… 😉
    Bravo pour les 10,5kg, c’est vrai que ça pèse, toutes ces petites choses-là !!!
    Oui, je connais Marie-Ange, nous nous sommes même rencontrées il y a deux ans, lors du salon de la plongée !

  20. J’ai aussi un adaptateur à prise plate, (et plein même, achetés à Bangkok,) sur lequel brancher la multiprise… française.
    Mais là bas, déjà que une seule prise (l’adaptateur à prise plate ça penche à mort vers le bas sur leurs prises de …
    eh bien tu vois, l’adaptateur ne supportait pas le poids de la multiprise française, qui elle n’acceptait pas non plus la prise plate du ventilateur. ça penchait à mort vers le bas tout ça …
    Alors, adaptateur à prise plate + multiprise française + adaptateur à prise plate pour y brancher le ventilo, et encore les autres (puisque multiprise, c’est fait pour brancher trois appareils dans mon cas, chargeurs, ordinateur …
    Je ne m’en suis jamais sortie, et je me suis obligée à utiliser l’ordi alimenté électrique en restant sur ma terrasse. Sinon, sur batterie.
    Quand je parle de 10 kgs, c’était la valise à roulettes, parce que j’avais aussi l’ordi sur le dos et son matos (1kg5)
    J’en profite pour te remercier pour le récit de ton séjour à Koh Yao Noi, ça m’a vraiment beaucoup aidée de te lire.

  21. Très beau site 🙂 Design, contenu, photos, je vais y prendre mes marques.

    Moi question matériel, j’essaie tous les jours de me débarrasser de choses inutiles. Je suis partie avec 10kg de bagage et je dois avoir perdu deux kilos en cours de route. Je me rends compte que je n’ai plus besoin de grand chose.

    Au niveau matériel: Mac Book Pro, adaptateur, caméra Sony 550, quelques câbles. Un bon livre, deux tenues, un carnet, et c’est tout. J’avais opté pour une tente et un sac de couchage, que j’ai finalement abandonnés.

    Bonne continuation,

    NowMadNow

  22. @Joce: Je connais bien le coup de la prise de m… sur laquelle tout penche à mort vers le bas. J’ai une astuce : j’ai un mini-adaptateur à prise plate trouvé en Thaïlande, et qui s’insère bien et reste bien en place, sur lequel je branche la multiprise (laquelle multiprise étant avec un fil, si fait que je peux la poser, et qu’elle ne reste pas accrochée au mur avec le poids de toutes les petites choses à brancher…).
    😉

    NowMadNow: Bienvenue sur mes Petites Bulles ! Ravie que tu t’y plaises. Il faudrait que je mette à jour cette rubrique, car, depuis, je me suis sérieusement équipée pour la photo subaquatique et ça change la donne : avec le caisson pour le reflex, le hublot, la platine de support, le bras pour le flash, le flash, le chargeur pour le flash, le câble pour le flash, je me retrouve avec beaucoup (trop) de kilos supplémentaires à gérer… La dernière fois, avec les fringues + les affaires de plongée (équipement complet de 10-11kg) + le matos photo, je tournais autour de 26-27 kilos !!! 😯 Mais c’est vrai que pour la partie “fringues et affaires persos”, il est facile de faire très léger.
    8)

  23. salut !

    Une petite question : il t’a lâchée au bout de combien de temps, ton Macbook Pro ? Ça m’angoisse un peu…
    Je compte ramener le mien tout neuf, pratiquement 17p, lors de mon périple en Asie. Tu avait un sac adapté pour le protéger, j’imagine. Si tu as des conseils, ce serait cool 🙂
    En tout cas, super site, je sens qu’il va bien m’aider à me préparer ^^ merci à toi. 🙄

  24. @Jasmineloo: Au bout de quelques jours. L’écran m’a d’abord plusieurs fois fait des caprices avant de s’éteindre pour de bon. Ceci dit, à mon retour en France, tout est rentré dans l’ordre. Mais c’était un très vieux MacBook Pro… Si le tien est neuf, je pense que tu n’as pas trop à t’inquiéter. Pas de conseil particulier à te donner, sinon d’avoir une housse, pour le protéger, histoire d’éviter les chocs, pendant le transport. Une chose est sûre, les ordis n’apprécient guère la chaleur et l’humidité de l’air des zones tropicales.
    8)

  25. Hello,
    oki bon j hésite à passer du côté obscur seulement pour ces quelques mois à savoir prendre un pc… :mrgreen:
    sinon je vais me renseigner pour le macbook air pour savoir si il supporte bien, la CS5 (photoshop, flash, dreamweaver…) mais il me semble que oui avec le tout nouveau processeur…ah ah, en tout cas merci beaucoup pour ta réponse.^^
    Bon voyage, magnifique !!

  26. Une fille qui voyage avec si peu de choses c’est très rare ! Je me rappelle d’une amie qui m’accompagnait durant un séjour en Espagne l’année dernière qui a emporté avec elle un tas de vêtements inutiles pour un voyage d’une semaine. Sachant également, que c’est une passionnée de shopping, elle n’a pu s’empêcher de dévaliser de nombreuses boutiques sur place. Au retour, sa valise dépassait largement le poids maximum autorisé, mais heureusement pour elle que la compagnie n’a pas pesé son bagage à main !

  27. @Elyes: Que je sois une fille ou pas n’y change rien… Tu compares avec des voyages qui n’ont rien à voir avec les miens, en fait. Comme je m’envole à chaque fois pour des destinations où je compte faire de la plongée sous-marine (et non du shopping), et que je suis désormais aussi équipée d’un caisson étanche pour la photo subaquatique, je n’ai pas vraiment de quoi emporter grand-chose d’autre question fringues. Et puis, sous les tropiques, un maillot de bain et un paréo suffisent, bien souvent. Je pense, au contraire, que je suis bien plus chargée que ton amie adepte du shopping, avec tout mon bardas de plongeuse…
    🙄

    1. Bonjour,
      Partant our la première fois en croisière plongées BDE en Zgypte l année prochaine,je suis en pleine recherche de solutions pour caser tout mon matos (comme toi caisson Ikelite et 7D avec grand Hublot).
      Je souhaite emmener également mon macbook pro de 13″.
      Pourrais tu me donner stp les références de ton sac cabine où tu met tout ça stp?
      Un grand merci d avance !

  28. Merci pour tous ces conseils !

    Olala, ça fait un sacré chargement pour la plongée mais je pense pas qu’on puisse faire autrement ! Je prends note pour les gouttes contre les otites, je n’y avais pas pensé. Chaque fois je récupère mes oreilles parce que je sais que c’est vite attrapé. Lesquelles prends-tu ?
    Le Macbook Air 11″ c’est vraiment l’ordinateur taillé pour le voyage. Et je ne parle pas de la nouvelle série avec le retour du clavier rétro éclairé et un proc puissant…

    Côté vêtement on part assez léger avec ma copine, chaussures de marche (basses) incluses, on arrive dans les 9-10kg chacun !

  29. @Bruno: Pour les otites : Otipax que j’achète en France, marche très bien. En Malaisie, j’avais déniché un flacon d’Ottopain bien efficace aussi. Mais tous ces trucs-là doivent à peu près se valoir…

    Le MacBook Air 11 pouces, c’était pile l’ordi dont je rêvais avant qu’il n’existe, quand j’avais fait l’acquisition d’un netbook en rêvant de le voir afficher une pomme au démarrage :
    https://petitesbullesdailleurs.fr/mon-petit-ordi-de-technomade-20090128/

    Et là, je suis verte de découvrir la puissance des nouveaux MacBook Air qui viennent de sortir. Si seulement j’avais patienté quelques mois de plus… Mais bon, c’est ainsi, en matière de technologie, les nouveautés sont vite dépassées aussitôt acquises.

    Quant à mon matos de plongée et mon matériel pour la photo sous l’eau, je n’envisage pas de m’en passer, donc oui : impossible de faire léger, désormais.

  30. Bonjour Corinne,

    Bravo pour ton site. Il est agréable à lire et très inspirant. Je pars pour Bali avec mon garçon de 5 ans et je veux l’initier au snorkling. As-tu des endroits autour de Bali que tu recommandes pour pratiquer du snorkling avec un jeune enfant.

    Merci pour tous tes bons conseils.

    Brigitte

  31. Oui, vraiment top le Macbook Air et je bave sur les nouveaux 🙂
    Merci pour les gouttes pour les oreilles, je note, je profite de notre passage en France pour recharger notre pharmacie !
    A+

  32. Bonjour,

    Tout d’abord félicitations pour ce magnifique blog et la qualité des photos.

    Pour mes prochains voyages (une croisière Plongée de 5j aux Similians début novembre), j’hésite à amener mon propre matos de plongée.
    Pour la combi (j’utilise une combi intégrale de kitesurf en 3/5 mm) OK; c’est mieux pour l’hygiène et je n’aime pas les shorties de location …
    Mais pour le reste: stab, palmes, masque, détendeur. Y-a-t-il vraiment un intérêt compte tenu des contraintes de poids ?

    Jean-Luc de Lorient

  33. @Jean-Luc56: Merci pour les félicitations, ça fait toujours plaisir… 😀 Pour ce qui est de l’intérêt à trimballer son matos de plongée, c’est vraiment un choix personnel. Je serais toi, je prendrais quand même masque et détendeur.
    🙄

  34. Bonjour,
    Je suis tombée sur ton site un peu par hasard. Je trouve les photos magnifiques. Nous projetons de partir 4 à 5 semaines en Asie du Sud Est cet été, mais nous hésitons quant à la destination. Nous aimons pratiquer le snorkelling, nous évitons les lieux trop touristiques.
    Le pays ne doit pas comporter trop de risques sanitaires (enfant de 5 ans). Aurais-tu des pistes à me donner ?

  35. @Ma’: Bonjour Marion, et merci du compliment !!! 🙂
    Je te le dis gentiment : tu veux une chose et son contraire, non ?… 😉

    Je m’explique : l’avantage des lieux dits “touristiques”, quand on voyage avec un petit enfant, c’est qu’on y trouve toutes les infrastructures dont on peut avoir besoin en cas de souci (équipements médicaux, transports, communications, hébergements, etc.). Si on veut éviter les lieux touristiques, on opte du coup pour un voyage qui sera forcément moins confortable (plus long, plus compliqué, plus loin) et qui comportera plus de “risques” sanitaires…

    Personnellement, je te conseillerais des destinations “faciles” à voyager, comme la Thaïlande (snorkeling : dans les îles du Sud, des deux côtés), la Malaisie (snorkeling : île Perhentian Besar, île Tioman), et Bali en Indonésie (snorkeling : Amed, Pemuteran).

    Ce sont des destinations certes touristiques, mais on peut y trouver des tas de coins paisibles quand même. Regarde un peu dans des guides de voyage (Routard, Lonely Planet) sur ces destinations, ça permet de repérer déjà des coins et des îles qui conviendraient à vos envies…

    Bons préparatifs !!!
    8)

  36. Bonjour et merci pour ta réponse,

    Oui, tu as raison ce que je recherche est contradictoire…
    Thaïlande et Bali : ce sont les 2 destinations auxquelles je pensais. Le choix va être difficile.
    Nous avons déjà été en Malaisie et notamment à Tioman et aux Perhentians mais à l’époque, c’était sans enfant – sac à dos et à l’aventure.
    Et depuis, j’ai vraiment envie de découvrir d’autres pays en Asie…

    Marion

  37. @Ma’: Thaïlande ou Bali… quel dilemme !!! 😀 Les deux ont leurs attraits et sont tout à fait faisables avec un petit bout d’chou. Puisque vous partez en été, visez peut-être Bali, plutôt, vous aurez la quasi certitude d’avoir beau temps où que vous alliez dans l’île. En Thaïlande, en cette saison, la côte sud-ouest est très arrosée… Bons préparatifs !!!
    8)

  38. Je me suis inspirée de ce billet pour partir en Israël. Je ne fais pas de plongée mais j’avais décidé de partir avec seulement un sac cabine pour mes 12 jours de périple… bah, je le referrai pas 🙂

  39. Bravo pour ce blog fort utile avec une personne qui fonctionne formidablement bien dans sa tête …………c’est rare !

    Pour mes prochains voyages en Indonésie d’ou je reviens il me sera de bonne aide .

    as tu des conseils pour lieu de snorkeling à Flores,Komodo,bornéo ?
    Michel

    1. @Michel : Merci pour les compliments sur le blog ! 🙂

      Il m’est toujours difficile de conseiller les gens sur le snorkeling en particulier, vu que je ne le pratique pas. Mais en général, là où il y a de bons spots de plongée, il y a aussi de bons coins pour les snorkelers…

      Donc non, je n’ai pas vraiment de “lieu de snorkeling” à conseiller à Flores, Komodo, Bornéo. Tu en trouveras un peu partout, je suppose… Sinon, vise les endroits où vont les plongeurs, il y aura forcément des endroits sympas pour nager avec palmes-masque-tuba à proximité !

      8)

  40. Bonjour et grand merci pour me faire rêver à propos de Raja Ampat .Nous sommes 4 à partir , un petit trek dans la jungle et à nous les bulles …….
    C”est bon le départ approche J-12 , les affaires sont prêtes , il reste juste un petit détail au sujet du change .
    Je fais une escale à Jakarta , ou je ferai mon visas . Est-il préférable de changer , par rapport au taux de change à l’aéroport ou en arrivant à Sorong , pour que ce soit plus avantageux . Souvent c’est moins bon dans les aéroports .
    A Sorong ou aller changer : dans une banque , dans un hôtel comme le Novotel ou autre .
    Les euros sont-ils acceptés sans problème ou faut-il prévoir aussi des dollars ?.
    Merci , à bientôt de vous lire et faites nous encore voyager ce n’est que du bonhuer .
    cordialement .
    Sylvie

    1. @Jean : quand tu dis “dans l’avion”, je suppose que tu veux dire avec moi en cabine ??? Comme je l’explique dans l’article, mes palmes et tout mon matériel de plongée vont en soute dans mon sac, que ce soit sur AirAsia ou d’autres compagnies. Je n’ai pas de raison de sortir les palmes dudit sac pour les prendre en cabine… 😉

  41. Bonjour Corinne
    Tout d’abord bravo pour ton site super bien documenté, on voyage rien qu’en le consultant ! Ton parcours est un peu (beaucoup !) identique au mien. Je voyage quasi exclusivement pour plonger, depuis mes 1eres bulles en 1990, jour de mon baptême, une révélation ! Je suis également photographe et vidéaste, mais je reste au matos “léger” avec un canon qui me fait malgré tout de bonnes images. Je suis actuellement en train de faire ma check-list pour partir en croisière à Rajat Ampat (avec Wallacea), et je voudrais savoir si tu as déjà eu des soucis d’excédents de bagages sur cette destination ? J’ai le même sac que toi, mais qui va être bien compact, je compte y mettre également le matos photo et mes fringues. Et comment ça se passe sur les vols intérieurs ? Pour finir, j’ai lu que la température de l’eau était constante à 28° toute l’année, c’est le cas ? Du coup une 3mm doit être suffisante. Merci encore pour ce joli site et les belles images !

    1. @Marianne : pas de souci pour les bagages jusqu’à Raja Ampat. En général, on te demande de payer pour l’excédent de kilos en trop au moment de l’enregistrement, mais pas toujours (ça dépend des compagnies, de l’humeur de la personne au guichet et de la tête du/de la client/e). Comme c’est au tarif indonésien, ce supplément est tout à fait abordable.
      Eh oui, l’eau est chaaaaude, on ne t’a pas menti ! 🙂 Moi qui suis très frileuse, je supporte très bien une 5mm à ces températures, surtout quand on plonge tous les jours, plusieurs fois par jour. Mais une 3mm est en principe suffisante, en effet. Bons préparatifs !

  42. Bonjour,
    j’apprécie tous les détails que vous pouvez fournir. Est-il possible de connaître le nom du nouveau model de sac à roulette à mettre en soute que vosu avez acquis? Je oars bientôt en mer rouge et je suis en recherche ^^
    Merci et bonnes bulles 🙂

    1. @Solène : c’est un East Pack Tranverz L (grand format) https://www.eastpak.com/oc-en/luggage-c140/tranverz-l-current-khaki-pEK63L73T+00+999.html Comme mon précédent sac, il est en deux compartiments, et je mets d’un côté le matos de plongée, de l’autre les fringues et quantité d’autres trucs (câbles, éléments non-fragiles pour la photo sous-marine, etc.). Il est un peu plus encombrant que l’autre, mais il semble plus robuste. Je viens de le tester en Indonésie… Je suis en train de m’habituer à son format, un peu plus grand que le précédent…

  43. super article pour les bagages
    Moi je rajoute : concernant les étiquettes, j’en mets 2 sur les poignées des bagages, et un papier avec mes adresses à l’intérieur du bagage.
    Je fais une photo de tous mes bagages sur mon iPhone, et je photographie en backup tous mes documents (billets avion, hôtel, passeport) sur mon iPhone et sur le cloud.
    Quand à mon sac de photo cabine j’ai dégoté un sac à dos spécial photo top pour mon compaq et ses flashs, j’ai encore trop peur de mettre mon reflex dans l’eau et … c’est lourd.
    Je rajoute à mon caisson étanche un jeu de joints toriques en backup, de la graisse silicone bien sur etc …
    Et je fais un fichier exel avec tous ce que j’ai à mettre dans mes bagages comme cela à chaque voyage je reprends ma liste sans rien oublié … hehe une fois mon conjoint avait oublié ses maillots de bain, trucs faciles à racheter dans les pays tropicaux …

  44. Bonjour, merci pour cet article très instructif. Pourrais-tu me conseiller sur l’achat de matériel de photo et vidéo pour la plongée. Encore merci

    1. @Cortiana : bonjour, il y a tellement de nouveaux appareils et de caissons possibles, dans des gammes de prix tellement différentes, pour des photographes de divers niveaux, qu’il m’est impossible de te conseiller un type de matériel en particulier… Fixe-toi un budget pour commencer et regarde ce qui est accessible en fonction de cela. Si c’est pour faire de la photo / vidéo sous l’eau occasionnellement, pas la peine de dépenser trop… Ça peut valoir le coup de regarder le matériel d’occasion. Si tu es déjà mordue d’images et maîtrisant bien les principes de la photographie sur terre, alors il faut voir quel type d’appareil peut te convenir… Tu peux t’inscrire au Forum de la photo sub, où tu trouveras plein de conseils et pourras poser des questions à d’autres passionnés : https://www.forum-photosub.fr/forum/

      Et j’ajoute : si tu lis l’anglais, il y a ce site, qui est une mine d’infos : https://www.uwphotographyguide.com/

  45. Merci conseils bien appropriés et utiles. Ils m’on aidé à me rassurer et adapter mes bagages et mon sac de plongée.

    Beau résumé je vais me coucher plus rassuré

    Germain

  46. Bonsoir Corinne,
    Une petite question pratique d’un plongeur sans beaucoup d’expérience.
    Est-ce que le Eastpack peut être un choix judicieux pour un voyageur avec une grosse semi étanche et une grosse stab ?
    Merci à toi.

    1. @Hervé : bonsoir, c’est difficile à évaluer… Tout dépend de la quantité de fringues que tu transportes avec. Le sac Eastpack dont je parle fait 121 litres. J’ai du mal à évaluer si c’est suffisant pour une grosse stab et une grosse semi-étanche, plus tout le bazar ou pas que tu comptes transporter avec. Regarde peut-être le volume des gros sacs de plongée à roulettes vendus par des marques connues. En général, ce sont des sacs conçus pour contenir uniquement le matos de plongée. Ça te donnera un ordre de grandeur, de volume. Peut-être que ce sac Eastpack sera trop petit pour toi, qu’il faudrait envisager un modèle d’un volume supérieur, je ne sais pas trop.

      Moi, je parviens à caser tout mon équipement de plongée d’un côté (donc la moitié du volume environ, pour une combi humide de 5 mm et stab pas trop encombrante, détendeur Legend, palmes, masques, bottillons, et les accessoires type parachute qui vont dans les poches de la stab). De l’autre côté, je mets très peu de fringues, deux paréos, une trousse de toilette, une petite pharmacie, une grosse trousse contenant câbles, chargeurs et connectique électrique, une mallette un peu volumineuse contenant des accessoires pour mon caisson photo : deux gros flashs avec leurs batteries désolidarisées, les bras des flashs et leurs flotteurs, etc. Donc, à la louche, 60 litres environ d’un côté, 60 litres de l’autre…

      Voilà, si ça peut t’aider à mieux estimer le volume dont tu as besoin… Bons préparatifs ! 🙂

Partagez
Tweetez
Partagez