Les raies mantas viennent à la rencontre de Matt, qui s'est immergé en apnée. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les raies mantas viennent à la rencontre de Matt, qui s'est immergé en apnée. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)

Au milieu des raies mantas à Komodo

#Indonésie

  Indonésie : Komodo + Raja Ampat - juillet 2016

À Komodo (Indonésie), difficile de rater les majestueuses raies mantas. Sous l’eau en plongée ou depuis la surface avec un simple tuba, c’est un spectacle somptueux !

Manta Point en vidéo

Je vous ramène en juillet 2016, en Indonésie, au cœur du parc national de Komodo. Outre ses célèbres dragons, l’archipel est aussi l’endroit rêvé pour observer les gracieuses et inoffensives raies mantas.

Les séquences de cette vidéo sous-marine dormaient au fond de mon disque dur depuis de longs mois… Il était temps que je mette en ligne un petit montage ! 😉

J’ai filmé ces belles géantes au site de Karang Makassar, logiquement appelé “Manta Point” par les plongeurs. Un nom pas usurpé du tout. C’est le spot à mantas le plus connu et le plus populaire de Komodo.

Il est relativement sûr et accessible à tous. Que l’on soit plongeur bouteille, apnéiste ou simple nageur en palmes-masque-tuba (ce qu’on appelle PMT ou snorkeling), il est assez facile d’y observer les immenses raies mantas (dans les 3-4 mètres d’envergure), qui adorent se balader dans le secteur entre copines.

Inoffensives les raies mantas ? Mais oui ! Je le précise, car on me pose souvent la question : ces énormes raies n’ont pas de dard, contrairement à ces petites traîtresses de raies pastenagues… À ce sujet je vous laisse (re)découvrir ma douloureuse mésaventure de juillet 2009, à Sangalaki, un autre “Manta Point”, situé dans l’archipel de Derawan, près de Bornéo).

Cinq ans après ma première croisière-plongée à Komodo en 2011, je constate avec bonheur que les mantas sont toujours là, en nombre. À Karang Makassar, pas besoin d’aller profond ni de les chercher bien longtemps.

En plongée, il suffit de se positionner à un endroit stratégique sur le fond, qui dépasse rarement les 10-15 mètres de profondeur, dans le secteur, et d’attendre. Au bout de quelques minutes on les voit arriver, par petits groupes, remontant sans effort le courant souvent furieux qui balaie le substrat de débris coralliens.

Ce site peut se transformer, au gré des marées et des phases de la Lune, en véritable voie express aquatique !

On ne s’en rend pas compte dans ma vidéo, tout a l’air très calme, très paisible, mais en réalité, pour pouvoir filmer sans être emportée par le courant, je suis arrimée à une roche avec mon crochet et j’ai parfois bien du mal à me tenir face au “jus” avec mon imposant caisson photographique, pour garder les mantas dans le cadre… Je n’ai ni la puissance ni l’élégance de ces énormes poissons.

Bien évidemment, en snorkeling en surface comme en plongée sous l’eau, il est vain de vouloir les suivre tant elles nagent vite et tant le courant peut être fort à Komodo. Ce sont elles qui décident d’approcher, qui acceptent notre présence ou pas, qui viennent à notre rencontre ou pas.

Karang Makassar est une vraie voie express à mantas ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Karang Makassar est une vraie voie express à mantas ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Le fond est à une dizaine de mètres de profondeur. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Le fond est à une dizaine de mètres de profondeur. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Une nouvelle escadrille de raies mantas ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Une nouvelle escadrille de raies mantas ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Cette raie a déployé ses nageoires céphaliques pour diriger le plancton en surface droit dans sa gueule. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Cette raie a déployé ses nageoires céphaliques pour diriger le plancton en surface droit dans sa gueule. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Le site est peu profond, ce qui permet d'observer facilement les raies mantas. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Le site est peu profond, ce qui permet d’observer facilement les raies mantas. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les snorkelers peuvent admirer la nage majestueuse des raies manta au ras de la surface. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les snorkelers peuvent admirer la nage majestueuse des raies manta au ras de la surface. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les nageoires céphaliques roulées forment comme des cornes. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les nageoires céphaliques roulées forment comme des cornes. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)

Komodo est un parc national, inscrit sur la liste du Patrimoine mondial et des Réserves de biosphère de l’Unesco. Et Karang Makassar, au cœur du parc, est vraiment un site exceptionnel pour observer le comportement des raies dans diverses situations : quand elles se nourrissent en surface de zooplancton, filtrant l’eau, gueule ouverte ; quand elles nagent entre deux eaux, descendant ou remontant le courant (pour engloutir au passage quantité de plancton là aussi) ; ou bien encore quand elles font la queue aux “stations de nettoyage” qui parsèment le fond…

Car oui, les mantas font la queue, devant ces patates de corail où vivent de petits poissons nettoyeurs qui les débarrassent de leur parasites ! 😲 Positionnée à quelques mètres d’une de ces “stations de nettoyage”, je les vois arriver en escadrille et s’aligner les unes derrière les autres, pour attendre tranquillement leur tour !

Fascinée, je reste au même endroit, sans bouger, pendant une trentaine de minutes, sans pouvoir détacher mes yeux du spectacle, qui recommence, à n’en plus finir…

La manta est une mobula. Petite parenthèse scientifique : en toute rigueur, sachez qu’il ne faudrait plus dire “manta” mais “mobula”. Une étude génétique, publiée en juin 2017, a permis de regrouper ces deux genres de raies en un seul, si bien que la classification “manta” n’existe plus pour les biologistes. (Je vous renvoie sur cet article d’Anthony Leydet qui résume tout ça.) Mais qu’importe, dans le langage courant, on peut continuer de les appeler “mantas” (comme dans les mots “mante”, “mantille” ou “manteau”)… Ça leur va si bien !

Les plus curieuses viennent parfois en vol plané jeter un œil à la petite créature bizarre qui lâche des bulles scintillantes à quelques mètres d’elles. Pas du tout effarouchées par ma présence, plusieurs viendront même se positionner juste au-dessus de ma tête…

J’avais déjà pu observer ce comportement, cinq ans plus tôt. J’avais à l’époque posté cette vidéo, où on voit une raie manta venir m’examiner de plus près et déployer une de ses nageoires céphaliques en approchant, comme pour me saluer. J’avais baptisé cette séquence “La raie manta qui fait coucou”

Je vous la remets ci-dessous, juste pour le plaisir :

La croisière-plongée s’amuse

Pour admirer les raies mantas de Komodo en ce mois de juillet 2016, j’ai opté comme en 2011 pour une croisière-plongée. Après pas mal de recherches sur les forums internet de plongeurs, mon choix s’est porté sur le Duyung Baru. Ce joli petit pinisi (bateau traditionnel indonésien) semble correspondre parfaitement à mes attentes : six plongeurs maximum à bord (répartis dans trois cabines) et ambiance “photographe friendly”. Coup de bol, il y a de la disponibilité aux dates qui me conviennent.

Voir aussi sur le blog → Komodo vu d’en haut, c’est encore plus beau

Le bateau appartient à Vovo et Yani, un couple germano-indonésien adorable. Ils connaissent parfaitement la région et le parc de Komodo, où Vovo navigue et plonge depuis une quinzaine d’années.

Avec eux, on se sent comme en famille le temps de la croisière ! Yani se lève avant l’aube pour préparer un copieux petit-déj spécial plongeurs et nous mitonne de bons petits plats tout au long de la journée. Vovo gère la logistique des plongées. À leurs côtés, trois hommes d’équipage indonésiens et un guide moniteur australien, Matt.

Le Duyung Baru est ma nouvelle maison pour une semaine ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Le Duyung Baru est ma nouvelle maison pour une semaine ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Vovo nous briefe avant chaque plongée. (Duyung Baru, Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Vovo nous briefe avant chaque plongée. (Duyung Baru, Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Séance de yoga sur le pont du Duyung Baru. (Komodo, Indonésie, juillet 2016, © Christoph Würbel)
Séance de yoga sur le pont du Duyung Baru. (Komodo, Indonésie, juillet 2016, photo par Christoph Würbel)

Côté clients, je suis chanceuse : des gens sympas et intéressants, toujours de bonne humeur, avec qui je m’entends très bien. Vraiment une bonne pioche, cette croisière !

Il y a un jeune couple de Finlandais (Ville et Henna), un autre d’Allemands (Chris et Michi), tous expatriés en Asie (Jakarta et Singapour) et un Indonésien, Will, photographe sous-marin comme moi. Je vous invite à visiter son Instagram (@_william_susantoo_), il fait des images magnifiques (et pas que sous l’eau) !

À la loterie des binômes de plongée, je suis donc vraiment bien tombée ! Will et moi formons sous l’eau un duo idéal, avec nos gros caissons photographiques respectifs.

Photo de famille de nos "précieux"... De gauche à droite , le caisson de Will, celui de Vovo et le mien. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Photo de famille de nos “précieux”… De gauche à droite , le caisson de Will, celui de Vovo et le mien. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)

Luxe suprême pour ma petite personne : je dispose de la cabine double du fond pour moi toute seule… Une vraie princesse !  Vovo me l’avait annoncé quand j’ai réservé : il avait déjà quatre autres clients cette semaine-là, deux couples. La cabine restante serait donc pour moi, et sans surcoût “single”. (Will, le sixième du groupe, s’est ajouté en dernière minute : il a pu se joindre à la croisière en partageant la cabine de Matt, le moniteur de plongée, destinée en principe au staff.)

Je ne sais pas si les étoiles s’alignent quand j’envoie un e-mail de réservation en Indonésie, mais je suis vraiment vernie sur ce coup-là et ce n’est pas la première fois que ça m’arrive. Cinq ans plus tôt, en 2011, lors de ma première croisière-plongée à Komodo, j’avais fait encore plus fort : j’avais eu le bateau entier pour moi toute seule !!!

À bord du Duyung Baru, j’apprécie beaucoup l’ambiance bienveillante dans notre petit groupe. Avant et après les plongées, on papote, on apprend à se connaître et on échange nos savoirs respectifs…

Matt et Vovo, qui sont aussi instructeurs d’apnée, organisent des séances de yoga sur le pont, pour travailler le relâchement et la maîtrise du souffle, et ils nous proposent une matinée d’initiation à la plongée “libre”, sans bouteilles ni bulles.

Les apprentis apnéistes sont cette fois descendus en même temps pour la photo de groupe sous l'eau ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les apprentis apnéistes sont cette fois descendus en même temps pour la photo de groupe sous l’eau ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Notre petit groupe prend gaiement la pose pour la photo souvenir, sur l'île de Rinca. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Notre petit groupe prend gaiement la pose pour la photo souvenir, sur l’île de Rinca. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)

Will, de son côté, me donne des conseils sur la gestion de la lumière sous l’eau, la position de mes flashs, la configuration de mon caisson. Il m’offre même une sangle, qu’il a en rab, pour le transporter plus facilement, en apprenant que celle que j’avais commandée et que j’aurais dû recevoir avant le départ n’est pas arrivée à temps.

Comme Chris, il a un drone, et ces deux grand garçons s’amusent beaucoup ensemble avec leurs jouets, nous ramenant des images spectaculaires de Komodo vu d’en haut. Quant à moi, je me fais un plaisir de montrer aux uns et autres, sur l’écran de mon ordinateur, diverses petites astuces pour traiter ses photos dans Lightroom

Pour plonger à Komodo, une croisière de plusieurs jours est selon moi la meilleure option, préférable aux excursions à la journée (day trips) au départ de Labuan Bajo (le port de Flores où sont tous les hôtels et d’où partent tous les bateaux). Les day trips ne donnent pas autant de liberté, le trajet est long, on ne peut pas aller sur les sites plus éloignés et découvrir l’ensemble du parc. Pour ceux qui préfèrent malgré tout être basés à terre, j’avais repéré lors de mes préparatifs le Komodo Resort, sur l’île de Sebayur, située à mi-chemin entre Labuan Bajo et l’île de Komodo (mais mieux vaut être deux, leur supplément “single” est salé). Le temps de trajet est ainsi diminué de moitié pour rallier les spots les plus connus (Karang Makassar “Manta Point”, Batu Bolong, Castle Rock, Crystal Rock, The Cauldron, etc.).

Pour savoir quels bateaux avaient des disponibilités à mes dates, j’ai utilisé le site LiveAboard.com, que je trouve très bien fichu pour faire du repérage (en revanche, je n’ai jamais réservé à travers leur plateforme, je ne sais donc pas ce qu’elle vaut, je préfère en général contacter directement les opérateurs). Ensuite, donc, je suis allée sur le site du Duyung Baru pour faire ma demande de réservation. Si vous n’êtes pas à l’aise en anglais (ou en allemand) et que vous préférez échanger en français, Olivier du site Asiaqua.com peut s’occuper de tout (j’ai découvert après coup qu’il propose le Duyung Baru dans son catalogue).

Ce qui est bien, aussi, quand on est un si petit groupe, c’est que l’itinéraire de la croisière est flexible voire “à la carte” en fonction de nos envies. Vovo, fort de son expérience, nous fait des suggestions au jour le jour.

Il doit aussi tenir compte des marées et des courants, qui sont particulièrement redoutables cette semaine-là, car nous sommes en période de nouvelle lune. La sécurité avant tout.

Drames à Komodo. Ce ne sont pas des histoires. Chaque année il y a des plongeurs qui meurent noyés ou disparaissent à Komodo, emportés par les courants… Le dernier cas en date est celui d’une plongeuse singapourienne de 40 ans, disparue en juillet 2017. Les recherches en mer n’ont pas permis de la retrouver.

Dans ce contexte, je trouve notre groupe vraiment chouette. Aucun râleur pour plomber l’ambiance, tout le monde comprend bien pourquoi on doit parfois plonger ailleurs que sur le site initialement prévu. Et personne ne proteste quand il faut renoncer à certains spots, trop exposés, pour se rabattre sur des zones plus protégées.

Les choix de Vovo, qui connaît le parc comme sa poche, sont toujours judicieux et tout le monde s’y retrouve, malgré des niveaux différents au sein de notre petite palanquée.

Prêts à repartir plonger ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Prêts à repartir plonger ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Henna, tout sourire après la plongée avec les mantas ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Henna, tout sourire après la plongée avec les mantas ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)

Ultime ballet subaquatique

Le fantastique Manta Point (alias Karang Makassar) est situé non loin d’un autre site de plongée fabuleux : Batu Bolong, un pinacle corallien multicolore, spectaculaire, derrière lequel on est à l’abri du courant, où virevoltent des nuées de poissons (je posterai une série de photos un jour prochain). Le dernier jour, nous retournons plonger sur ce site et au retour… nous croisons à nouveau la route des mantas, en pleine orgie de plancton à la surface !

Oui, encore des mantas ! Elles sont partout autour de l’annexe !

Notre boatman a prudemment réduit la vitesse, puis coupé les moteurs. Les conditions dans cette zone, à ce moment de la journée, sont excellentes, il n’y a quasiment pas de courant. L’occasion est trop belle. Nous décidons de retourner à l’eau ! En snorkeling pour les Finlandais et les Allemands. En apnée pour Matt et Vovo. Avec les quelques bars restant au fond des bouteilles pour Will et moi… On s’immerge à 5 mètres avec nos caissons photographiques, pour d’ultimes images.

On ne s’en lasse pas. Impossible d’être blasé, de ne pas s’émerveiller à nouveau. L’émotion est intacte. Le temps suspend son vol. Cette nouvelle rencontre avec les mantas, imprévue, sans aucun autre bateau alentour, est vraiment magique… 😍

Les mantas passent et repassent, au ras de surface. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les mantas passent et repassent, au ras de surface. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les raies mantas viennent à la rencontre de Matt, qui s'est immergé en apnée. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les raies mantas viennent à la rencontre de Matt, qui s’est immergé en apnée. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Une rencontre inoubliable... (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Une rencontre inoubliable… (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les taches sur le ventre des raies mantas sont uniques pour chaque individu, un peu comme nos empreintes digitales. C’est en quelque sorte leur « carte d’identité », qui permet aux biologistes marins de les reconnaître. (Komodo, Indonésie, juillet 2016.)
Les taches sur le ventre des raies mantas sont uniques pour chaque individu, un peu comme nos empreintes digitales. C’est en quelque sorte leur « carte d’identité », qui permet aux biologistes marins de les reconnaître. (Komodo, Indonésie, juillet 2016.)
Les mantas ne sont pas les seules à venir se gaver de plancton à la surface. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les mantas ne sont pas les seules à venir se gaver de plancton à la surface. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Vovo prend sa pose de super-héros devant la manta pour la photo ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Vovo prend sa pose de super-héros devant la manta pour la photo ! (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Une manta presque entièrement noire file dans le courant. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Une manta presque entièrement noire file dans le courant. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Sous cet angle, je comprends mieux pourquoi on les appelle aussi "diables des mers". (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Sous cet angle, je comprends mieux pourquoi on les appelle aussi “diables des mers”. (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les voltes des mantas révèlent les taches sur leur ventre et leurs cicatrices... (Komodo, Indonésie, juillet 2016)
Les voltes des mantas révèlent les taches sur leur ventre, et pour certaines, leurs cicatrices… (Komodo, Indonésie, juillet 2016)

Une de mes photos publiée dans un livre National Geographic

Mise à jour, avril 2019. Petite fierté, trois ans après ces rencontres extraordinaires dans les eaux de Komodo : l’une de mes images des raies mantas nageant à la rencontre de Matt en apnée – lui les bras ouverts, émerveillé par le spectacle – fait partie des photos publiées dans le livre 100 Dives of a Lifetime paru chez National Geographic Books !

De nombreux photographes sous-marins de tous horizons, dont le célèbre Britannique Alex Mustard (il est notamment l’auteur de la photo de cénote en couverture) ont contribué à illustrer cet ouvrage. Celui-ci est écrit par Carie Miller, autrice américaine basée en Nouvelle-Zélande qui a réalisé un périple qui fait rêver (voir son Instagram dédié à ce tour du monde des sites de plongée : @thedivetravelers)… 🤗

  Indonésie : Komodo + Raja Ampat - juillet 2016

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